Bonjour à tous :)
J'ouvre ce nouveau blog afin d'aborder une passion que j'aime sincèrement : la lecture.
Jusqu'à présent, je n'ai jamais songé à le faire puisque l'idée ne m'avait même pas effleuré l'esprit jusqu'au jour où j'ai débarqué sur un site consacré à ce passe-temps vraiment plaisant. J'ai vu que beaucoup de ses membres y tenaient des blogs de ce type et je me suis dit qu'il serait sympa d'en faire tout autant. Du coup, je me lance^^
Sinon, pour me présenter vite fait, je me nomme Jaysher, lorsque je suis auteur, et Kah Rane lorsque je suis lecteur. Enfin, j'ai trente-six ans.
Forcément, comme je vais poster ici mes toutes premières critiques au fur et à mesure de mes lectures, elles pourraient paraître gauches au tout début mais c'est comme l'écriture, ma plume ne demande qu'à s'améliorer donc, n'hésitez pas à me laisser des commentaires constructifs afin que je puisse me perfectionner.
En tout cas, et pour conclure, j'espère que vous saurez apprécier votre balade et je vous dis à très bientôt :)
Projet ARTHEMIS
Auteur :
Agneta Gerson
Résumé :
Au-dessus de la Laponie , deux satellites se percutent. Les services secrets américains et suédois tentent d'étouffer l'affaire, mais Manuel, ingénieur le jour et hacker la nuit, met à jour un complot international. Son amie Charleen, travaillant à la NASA, est alors embarquée malgré elle dans une enquête dont elle ne sortira pas indemne.Lors d'une traque infernale vers les confins les plus sombres du DARKNET et du terrorisme informatique, elle découvrira un autre monde, parallèle au notre, où les hackers font la loi. Elle pourra compter sur un journaliste suédois dans sa course contre la montre pour arrêter le "projet ARTHEMIS"...Dans la lignée des romans de Dan Brown, ce thriller technologique nous fait voyager du Chili à la Suède, en passant par le Maryland, siège de la NASA et de la NSA. Ingénieur en informatique et spécialisée dans le domaine spatial, Agneta Gerson signe ici un thriller autour d'un fait réel : la collision entre les satellites Iridium-33 et Kosmos-2251.
Remerciements :
Je tenais particulièrement à remercier Agneta Gerson pour ce nouveau service-presse, me témoignant de sa confiance par la même occasion.
Mon avis après la lecture :
Je considère ce roman comme étant court. Toutefois, ce format peut présenter plusieurs avantages et ici, c’est le cas : intensité, efficacité et parfaite fluidité de lecture. A travers cette œuvre, ces trois ingrédients sont réunis pour offrir un délicieux moment d’évasion pour son lecteur et forcément, j’ai goûté mon plaisir. De plus, utiliser un fait divers et son expérience professionnelle apportent beaucoup de crédit à une histoire et là encore, cela joue beaucoup sur l’appréciation générale. Comme vous l’avez sans doute compris, j’ai vécu une agréable semaine en compagnie de ce roman et même si je sais d’avance que je vais fournir une belle liste positive, il me reste toujours la première à exprimer, à savoir les petites choses qui ont su me déranger. Rien de bien méchant, je rassure. Tiens, puisque j’évoque ce sujet, ne serait-ce pas pour moi, l’instant de passer à leur rédaction ?
Points négatifs :
-
La romance. C’est un format court donc, on va très vite et malheureusement, cela empêche de savourer pleinement quelques surprises. Ici, on sent très vite l’intrigue amoureuse qui se met en place.
-
Il m’a manqué ce petit quelque chose pour en faire un coup de cœur même si nous n’en sommes pas loin.
Points positifs :
-
La taille aléatoire des chapitres.
-
Comme j’ai su le dire plus haut, l’intensité et la rapidité concernant la mise en place des rebondissements. L’ensemble s’enchaîne avec tellement de cohérence, de fluidité qu’aucun temps mort n’a le temps de se mettre en place.
-
Bizarrement, la romance. Ouais, très contradictoire le gars mais lorsque l’on prend connaissance de toutes les épreuves que traversées par ce jeune couple naissant, on se dit qu’au final, ils ont le droit d’être heureux et d’en profiter au maximum.
-
Cédric. Je comprends tout à fait pourquoi Charleen a craqué car de mon côté, je pense que mon petit cœur aurait manqué quelques battements. Sa maladresse, sa timidité, sa prévenance, ouais, il sait comment faire craquer le garçon.
-
Torpig. C’est une belle âme avec des convictions même s’il reste foncièrement naïf. Quand on sait de quoi il est capable pour respecter et exprimer ses idéologies, cet homme mérite clairement le respect.
-
Bon, même si beaucoup de livres relatent de l’organisation de certains groupuscules nuisibles à la société, il est toujours captivant de connaître l’organisation et les premières raisons qui poussent ces êtres à agir de la sorte.
-
Enfin, le roman offre une fin ouverte. Y aura-t-il un nouveau tome ? Est-ce une façon agréable de conclure cette histoire ? A l’heure actuelle, je l’ignore encore mais je saurais rester curieux quoi qu’il arrive.
En conclusion, tout comme le premier roman que j’ai pu lire d’Agneta Gerson, cette seconde œuvre a le droit à son coup d’œil car il est vraiment très bien construit. Rien à dire sur la plume qui, à mes yeux, est parfaite. Au sujet des rebondissements, les idées sont excellentes, intéressantes, et incitent à la curiosité et au plaisir. Personnellement, je suis fan du talent de l’autrice et j’espère vraiment que d’autres sauront lui exprimer cette reconnaissance.
Note attribuée :
18 / 20.
Course contre la montre #42 (30/06/2023)
Bonjour à tous
Merci à Kyradieuse pour la bannière.
LES INSCRIPTIONS SONT OUVERTES JUSQU'AU 7 mai 2023 à 23 H 59!!!
On continue avec la 42ème session de ce challenge !
Le challenge est toujours organisé en session de 2 mois !
Le principe :
Lire le plus de romans possible pour gagner le plus de points possible.
(Uniquement les romans, BD et Manga ne comptent pas)
Barème des points :
Romans entre 1 et 100 pages = 1 point
Romans entre 101 et 200 pages = 2 points
Romans entre 201 et 300 pages = 3 points
Romans entre 301 et 400 pages = 4 points
Romans entre 401 et 500 pages = 5 points
Romans entre 501 et 600 pages = 6 points
Romans entre 601 et 700 pages = 7 points
Romans entre 701 et 800 pages = 8 points
Romans entre 801 et 900 pages = 9 points
Romans entre 901 et 1 000 pages = 10 points
Romans entre 1 001 et 1 100 pages = 11 points
Romans entre 1 101 et 1 200 pages = 12 points
Romans entre 1 201 et 1 300 pages = 13 points
Romans entre 1 301 et 1 400 pages = 14 points
Exemple : J'ai fini Une autre vie de S.J. Watson = 444 pages = 5 points.
Pour compter le nombre de points des livres en format numérique ou en audio, il faut prendre l'édition la plus récente.
En plus de tout ça, pour chaque session, il y aura un genre bonus et un genre malus.
Je rappel que pour le genre, je prends les "genres" notés sur la fiche du livre sur LivrAddict.
Le genre bonus fait gagner deux points sur une lecture de ce genre.
Le genre malus fait perdre un point pour une lecture de ce genre.
Genres pour la session 42 :
Genre bonus : Horreur +2
Genre malus : Classique - 1
Tiré au sort le 16 avril 2023 à 20h45
Certaines semaines, il y aura des bonus ou des petites surprises pour avoir un jeu un peu plus mouvementé.
BONUS SPECIAL
- du 15 au 31 mai +1 : Une ou des bougies sur votre couverture.
- du 15 au 30 juin +1 : Le titre de votre lecture débute et termine par la même lettre.
Vous n'avez pas besoin de posséder un blog pour participer. Je me base sur la confiance même si un avis n'est jamais de trop.
Les livres commencés avant la session et finis pendant compte comme un livre commencé et fini pendant.
Ce challenge peut être cumulé avec d'autres.
J'espère que tout est clair. Si vous avez des questions, n'hésitez pas à me demander !
Je vous attend nombreux, plus on est de fous, plus on rit !
Bon challenge à tous.
Ma liste de lecture :
Les Sept Reliques, tome II : La bouche de l'Enfer : 294 pages > 3 points.
Les Sept Reliques, tome II : La bouche de l'Enfer.
Auteur :
Joffrey Lebourg.
Résumé :
Cordélia et son équipe possèdent la première Relique. Apprendre à s’en servir est une autre paire de manches. Ils accostent maintenant l’Aridéa, le continent natal de son père, afin de trouver la deuxième. Hélas ! Le temps joue contre eux et ils sont toujours recherchés par
les plus influentes Maisons de l’Alkymia.
Soleil ardent, bêtes sauvages, milices nobiliaires, esclavagistes et volcans en éruption seront autant d’obstacles qui se dresseront sur la route de la jeune héroïne et de ses amis, pour les empêcher de neutraliser le monstrueux Entropia. Pourquoi n’est-il jamais simple de sauver le monde ?
Remerciements :
Je tenais à remercier Média Livres de m'avoir contacté pour l'envoi de ce nouveau tome et un très grand merci à l'auteur car cette épopée est vraiment géniale.
Mon avis après la lecture :
Je suis un peu en retard concernant le traitement de certains services-presses, il faut dire que la petite panne de lecture qui a su se manifester ne m’a pas vraiment aider. Cette dernière est encore présente, menace, mais avec cette lecture, j’ai su la maintenir au loin afin de savourer ce que je tenais entre mes mains. Lorsque j’ai tourné la dernière page, je suis resté sur ma faim car j’en voulais encore, ce qui est très bon signe chez moi. De plus, je me suis rendu compte que je me suis attaché à cette histoire, à ces mondes, à certains personnages et bien plus encore. Tout ça pour dire que cette saga est en train de devenir l’une de mes favorites et j’espère que j’aurais la chance de lire le tome III dans les mois ou années à venir. En attendant, j’estime qu’il est temps pour moi de procéder à la rédaction de mes fameuses listes.
Point négatif :
-
Un seul. Il m’a manqué ce petit quelque chose pour en faire un coup de cœur mais quelque chose me dit que ce problème sera peut-être résolu lors des prochains tomes. Et puis bon, les déserts et les mondes où la chaleur est maîtresse n’auront jamais mon favoritisme, j’en suis navré.
Points positifs :
-
La taille aléatoire des chapitres.
-
J’aime tellement d’éléments dans cette histoire désormais que j’ai peur d’en oublier lors de la constitution de cette liste. On commence par le vocabulaire de l’auteur. Elle est toujours aussi riche et je reconnais volontiers que j’étais ignorant concernant certains termes.
-
L’exploration de ce second continent. Cela doit jouer sur mon amour pour cette histoire car j’aime faire connaissance avec de nouvelles tribus, apprendre leurs mœurs, leur magie et leur histoire. J’aime aussi les différences physiques et le racisme semble presque inexistant dans ce monde, ce qui me charme totalement.
-
J’ai su aimer certains discours prôner par certains personnages, comme Amber. Cette dernière prend le temps de sortir une jolie diatribe sur l’égalité des hommes et des femmes et ses paroles ont su résonner en moi. Lorsque j’ai la chance de lire le travail d’un auteur de fantasy française qui décide d’éviter les codes de ses semblables, à savoir les viols ou maintenir les femmes au rang de défouloir sexuel, je ne peux exprimer que mon respect et mon admiration. Monsieur Lebourg est un homme bourré de talents et de valeurs, en plus d’une très belle intelligence. Certains devraient s’en inspirer d’ailleurs.
-
Ce qui est bien avec cette histoire, c’est que l’auteur veille à nous narrer le passé de son monde. D’ailleurs, cela pourrait être une très belle base d’exploitation pour un hors-série. En tout cas, je serais client si jamais ce cas de figure devait se présenter.
En conclusion, bon ben je suis fan de la saga et j’attends avec beaucoup d’impatience l’arrivée du troisième tome. En tout cas, pour ceux et celles qui souhaitent se lancer dans la fantasy de manière la plus agréable possible, je vous recommande celle-ci.
Note attribuée :
19 / 20.
Le cycle de Barcil, tome VI : Ugo le sage.
Auteur :
Jean-Marc Dopffer.
Résumé :
C’est au cœur d’Astragan, magnifique continent isolé au cœur du Grand Océan et ceint de sa barrière naturelle infranchissable, le Mur, que s’étend la mégapole d’Eÿktoss. Labyrinthe haché de gratte-ciels vertigineux, de ponts haubanés et d’artères congestionnées, l’urbanisation couvre le paysage ondulant à perte de vue, sous une atmosphère grise.
Expert de la section d’enquête du gouvernement, Ugo Kivelson a été mandaté par la commission pour analyser les transferts de fonds issus de l’exploitation des minerais essaimés sur l’ensemble du système solaire. Son enquête l’a emmené à rassembler des preuves sur les agissements frauduleux du Consortium, tout autant qu’à découvrir des ramifications aussi inattendues qu’éminentes. Le rapport d’enquête qu’Ugo tient entre ses mains est une bombe ; le scandale ne pourra être ni évité ni étouffé. L’affaire éclaboussera jusqu’aux plus hautes autorités des États Confédérés d’Astragan.
Ugo parviendra-t-il à sécuriser son rapport d’enquête ?
La paix entre les nations survivra-t-elle à la mission d’Ugo ?
Remerciements :
Je tenais particulièrement à remercier Jean-Marc Dopffer, qui, une fois encore, me témoigne sa confiance en ayant placé son précieux bébé entre mes mains.
Mon avis après la lecture :
Je poursuis l’exploration des univers de Jean-Marc Dopffer et je reste toujours dans la branche science-fiction. Aucun problème, je suis fan de ce genre littéraire et je ne suis pas prêt à lui tourner le dos… surtout lorsque j’ai la chance de lire d’aussi bonnes histoires. Cette nouvelle peut clairement s’inscrire dans la continuité de celle qui concerne Yuko car elle se déroule dans le même milieu : l’espace. D’ailleurs, on y retrouve certains thèmes communs comme ce fameux ascenseur spatial ainsi qu’un vocabulaire scientifique. Toutefois, contrairement à la nouvelle qui tourne autour de l’indomptable, je dois reconnaître que cette histoire a su me plaire beaucoup plus que sa petite sœur. Pourquoi ? Beaucoup d’action et là, oui, j’étais aux anges. Cela fait du bien de lire un texte qui ne présente aucune longueur. En attendant, après ces quelques lignes, je me dois de passer à la rédaction de mes fameuses listes.
Point négatif :
-
Même si j’ai su apprécier cette nouvelle a sa juste valeur, ce n’est pas un monde dans lequel je souhaite vivre ou du moins, qui ne m’a pas donné d’y rester plus longtemps. Après, il est toujours un peu spécial de souhaiter évoluer dans un monde en destruction, aussi bien dans l’espace que sur la terre ferme.
Points positifs :
-
La taille aléatoire des chapitres.
-
L’action. Comme j’ai su le rédiger auparavant, les scènes d’action ici sont nombreuses et d’une efficacité redoutable. C’est pour cette raison que mon plaisir de lecteur a été plus grand qu’avec la nouvelle de Yuko.
-
Le vocabulaire scientifique. Cette fois, il ne déborde pas à tous les chapitres et c’était clairement une expérience plaisante. D’ailleurs, un très grand merci à Roland Lehoucq pour son partage de savoir. J’aurais dû le citer dès la chronique sur Yuko mais comme je suis un homme distrait, je rattrape ma bourde avec celle-ci.
-
Jean-Marc Dopffer m’a offert la chance de lire ces deux nouvelles l’une après l’autre. Bien sûr, j’aurais pu enchaîner sur une autre lecture venant d’un autre auteur mais je voulais rester dans cet univers de science-fiction. Pour ce nouveau point positif, il faut savoir que la nouvelle de Yuko et celle de Ugo présente une petite continuité. Par contre, je pense que l’histoire de notre héros doit se lire après celle de la demoiselle pour respecter la « chronologie » dans le temps.
En conclusion, c’est une nouvelle super intéressante et très enrichissante. Ici, pas de longueurs et cela joue beaucoup sur l’appréciation dans sa globalité. De toute manière, jusqu’à preuve du contraire, je sais me montrer bon client concernant les œuvres de Jean-Marc Dopffer. Je ne me souviens pas d’avoir noté sévèrement l’une de ses nouvelles et pour le moment, c’est encore très loin d’arriver. Fort heureusement, dans un sens. Cela me prouve, encore une fois, que nous avons des auteurs vraiment talentueux dans la sphère de l’auto-édition et je leur apporte vraiment tout mon soutien. Après tout, ils savent me faire vivre de délicieuses expériences littéraires.
Note attribuée :
17 / 20.
Le cycle de Barcil, tome VII : Yuko l'indomptable.
Auteur :
Jean-Marc Dopffer.
Résumé :
La danse universelle du système solaire, fragile et merveilleuse, n’a d’égale que sa grâce sublime. Joyau de ce jeu cosmique, le caillou foisonnant de vie de Barcil tourbillonne au milieu de ses sœurs arides, aux ressources convoitées.
Barcil est splendide et élégante, mais aussi terrible.
Barcil est fertile et nourricière, mais aussi malade.
Perdu dans l’étendue du Grand Océan baignant la majeure partie de la planète, le continent d’Astragan se repaît d’un appétit féroce du fruit de l’exploitation spatiale. Mais ce nouvel essor de l’humanité, chargé de conquêtes et de richesses, s’émaille aussi d’un florilège de convoitises et de violence.
Remerciements :
Je tenais à remercier Jean-Marc Dopffer pour m'avoir proposé ce nouveau service-presse.
Mon avis après la lecture :
Je pensais que cette nouvelle serait celle que j’aurais le moins aimé, de toute la série que propose l’auteur, et en regardant les notes attribuées à celles que j’ai pu lire jusqu’à présent, je me trompe lourdement. Une chose est sûre : monsieur Dopffer excelle aussi bien dans la fantasy que dans la science-fiction. Cela tombe bien car ce sont deux genres dans lesquels j’ai mes petites habitudes en terme de lecture. Ici, quelque chose a su me chagriner mais comme pour la plupart de mes chroniques, je vais prendre le temps d’argumenter car tacler un texte juste pour le plaisir, ce n’est pas vraiment le style de la maison. De toute manière, sur l’ensemble du travail qu’a su me faire connaître cet auteur, je continue à me montrer admiratif et respectueux. D’ailleurs, sachez que cet homme m’a proposé un exercice tout à fait original concernant mon blog mais pour l’heure, je me garde d’en dire plus à ce sujet. Désormais, il est l’heure pour moi de rédiger mes fameuses listes et j’espère que ces dernières sauront convaincre de nouveaux lecteurs.
Point négatif :
-
Un seul. Certains chapitres sont un peu trop lourds en description. Malheureusement, cela entraîne quelques petites longueurs et à chaque fois, même si je suis montré le plus concentré possible, j’avais hâte de passer à autre chose.
Points positifs :
-
La taille aléatoire des chapitres.
-
Aussi bizarre que cela puisse paraître, je rajoute les descriptions dans cette liste. Alors, je ne parle pas de n’importe lesquelles puisque celles évoquées concernent la structure du vaisseau spatial mais aussi les manipulations. Bon, en prenant connaissance des remerciements adressées à la fin de cette nouvelle, tout prend sens mais tout de même… Jean-Marc est vraiment un auteur qui ne laisse rien au hasard et suite à cette lecture, ouais, l’admiration était encore là.
-
La plume. J’étais en train de regarder les années de parution concernant les nouvelles de l’auteur et celle-ci est visiblement la plus récente… et grâce à la plume, j’en ai pris conscience. Je dénote donc une sacrée amélioration, aussi bien dans la richesse du vocabulaire que dans la fluidité. Une fois qu’on se lance dans cette lecture, il devient très difficile de la lâcher et forcément, le plaisir était là.
-
Enfin, il y a une scène qui a su me faire plaisir car elle m’a renvoyé à un délicieux souvenir. En effet, je clame haut et fort que je suis fan d’une certaine saga cinématographique de science-fiction et à ce sujet, j’ai débuté sa lecture depuis quelques temps. Il s’agit d’Alien. Et lorsque j’assiste au réveil de l’équipage et de leur matou, forcément, je n’ai pas pu m’empêcher d’y voir une grosse ressemblance qui m’a fait sourire.
Comme j’ai su le dire, les descriptions peuvent poser problème, surtout si l’on n’est pas vraiment fan de vaisseaux spatiaux. Néanmoins, lors de la conclusion, on laisse un peu plus de place aux émotions, à la réflexion et on peut très vite comprendre le désarroi de certains protagonistes. Néanmoins, cela reste une nouvelle sympathique, avec laquelle j’ai passé de bonnes minutes en sa compagnie et pour moi, c’est vraiment le plus important.
Note attribuée :
16 / 20.
Le blé noir.
Auteur :
Colette Vlérick
Résumé :
C'est au début de l'autre siècle, au creux d'une petite vallée de Bretagne, dans la pénombre d'un vieux moulin. Jean Salaün, le meunier, apprend à sa petite-fille le métier de ses ancêtres. Émerveillée, elle entend l'écoulement du grain, le chant des meules, des roues et des trémies, elle découvre les mystères de cette délicate mécanique qu'un peu d'eau suffit à mettre en mouvement. ... Lire la suite
Passent les guerres, les amours, les bouleversements techniques et sociaux. Sur le Kanol comme sur les autres rivières, les moulins se taisent peu à peu, mais la cascade de Marie continue la même chanson. Trois siècles que cela dure et à Moulin Vieux nul n'a perdu de vue l'essentiel : surveiller la farine de blé blanc ou noir, à la finesse et au parfum incomparables...
De quelle façon je me le suis procuré :
Emprunt bibliothèque municipale.
Mon avis après la lecture :
Un emprunt qui a été réalisé dans le cadre du challenge et comme j’avais besoin d’un livre dont le mot « noir » était compris dans le titre… je n’ai pas hésité une seule seconde. Comme j’avais besoin d’une petite lecture toute tranquille, j’ai jeté mon dévolu sur cette littérature du terroir. Bon, cela ne concerne pas le mieux mais celui de la Bretagne mais cela n’a pas gâché mon plaisir, bien au contraire. Derrière, c’est le deuxième bouquin consécutif que je lis au sujet de ce bout de France. Un signe ? En attendant d’avoir une réponse à cette question, je poursuis ma chronique en indiquant que je ferais une seconde promenade dans l’univers de Colette Vlérick. Que ces auteurs puissent perdurer car cela me fait du bien de lire notre histoire. Les terroirs sont vraiment riches et je suis fier de résidé sur l’un d’entre eux. En attendant, je me dois de passer à la rédaction de mes fameuses listes car j’ai beaucoup de choses à raconter.
Points négatifs :
-
Trop de répétitions à mon goût.
-
Se montrer aussi généreuse concernant tout ce qui tourne autour du monde du moulin, aussi bien ses pièces que l’évolution des produits qui peuvent en découler, c’est une bonne chose. Cependant, cela prend une trop jolie place dans le roman.
-
Trop de personnages. Je m’y suis perdu à de nombreuses reprises.
Points positifs :
-
Et ils sont nombreux. Je commence donc par la taille aléatoire des chapitres.
-
Ce roman est une jolie surprise pour plusieurs raisons et la première : c’est une petite saga familiale. A partir du moment que l’on me propose une telle histoire, je me montre rapidement curieux et là, impossible de décrocher.
-
On peut également ranger ce livre dans un second genre : l’historique. Mine de rien, c’est une partie du passé de la Bretagne qui se révèle dans ces pages et il est très important de conserver une trace de nos origines.
-
Avec ce roman, on prend également conscience que le réseau des moulins était très grand mais très fonctionnel. Certes, certains se situaient à des kilomètres des autres tout comme les villes mais les gens savaient se contenter du peu, tout en traversant les drames avec noblesse et respect. Les voisins n’hésitaient pas à s’entre-aider lorsqu’ils n’étaient pas occupés à s’écharper en vilenie…
-
Enfin, les ombres des guerres sont là et encore une fois, ce bouquin présente encore son côté « historique ». L’époque qui est vraiment évoqué ici est l’Entre-deux-guerres et je suis très heureux d’être tombé sur ce livre. J’y ai appris une foultitude de choses, avant de basculer sur la seconde guerre. Cela fait du bien ce petit retour dans les débuts du vingtième siècle.
En conclusion, une œuvre qui saurait en contenter plus d’un. De plus, vous y trouverez quelques termes cités en patois et je présume qu’il faut être breton pour les comprendre. De mon côté, promis, j’irai refaire un tour du côté de cette auteure car j’y ai vraiment trouvé mon compte.
Ma note attribuée :
16 / 20.
Carrousel Funeste, Tome III : Te Deum écarlate.
Auteur :
Fenriss.
Résumé :
Avec l’aide du journaliste Djamel Bengali, le commissaire Franco et son équipe ont réussi à dévoiler la tentative de coup d’état des Loups de Dieu. Mais, loin d’apaiser les tensions, cette révélation plonge Paris dans le chaos et renforce l’influence du terroriste Lev Grishovska sur le quartier des Lochéres. En Agartha, le sinistre complot de la Reine Noire et de son frère et amant, le Marquis de Carabas, a porté ses fruits. Le couple et leurs vassaux ont désormais le contrôle de la capitale. Repliés dans Notre-Dame, les Résistants auront fort à faire pour planifier une contre-offensive, d’autant que les troupes de l’Abysse s’abattent sans pitié sur les Agarthiens.
L’espoir est-il encore permis de repousser l’Abysse ou le monde succombera-t-il à une nouvelle ère de terreur ?
Remerciements :
Un très grand merci à l'auteur, Fenriss, qui m'a offert la chance de terminer la lecture de cette saga littéraire.
Mon avis après la lecture :
Avec ce troisième tome, j’achève l’exploration d’un univers qui a su me séduire dès les premières pages. Bizarrement, pour moi, cette histoire ne s’arrête pas là. En effet, l’auteur a su créer un monde magique, riche d’actions et de rebondissements, dans lequel il sera toujours possible d’y retourner un jour. En tout cas, pour l’heure, je ne suis pas dans le regret que cette histoire trouve sa fin avec ce dernier opus et d’ailleurs, à ce sujet, cette conclusion se fait particulièrement troublante… Et elle l’est avec notre actualité… je parle de celle qui secoue actuellement notre pays. Voir une population se retourner contre le pouvoir en place et obtenir gain de cause… Désolé mais oui, ce scénario a tellement su me parler… et me faire rêver par la même occasion. Hélas, dans la réalité… Certes, notre peuple s’est réveillé mais à mes yeux, ce sursaut s’est fait trop tardivement. Bref, je vais fermer cette parenthèse car cette chronique n’est pas là pour ça et je me dois de passer à la rédaction de mes fameuses listes.
Point négatif :
-
Je me suis un peu perdu avec certains personnages car il y en a beaucoup. Bon, je pense que la panne littéraire y est pour beaucoup et je me dois de présenter mes excuses à l’auteur pour ça. D’ailleurs, et ce n’est que mon avis, il aurait été sympa de placer la liste des personnages en début d’un tome plutôt qu’en fin du troisième.
Points positifs :
-
La taille aléatoire des chapitres.
-
De l’action dès le premier chapitre… et j’en ai trouvé à chaque tome, c’est bon, rien de tel pour m’embarquer et me promettre de très belles heures de lecture. Et ici, encore une fois, cela s’est vérifié donc un très grand merci.
-
L’univers de cette série. Même s’il est loin d’être super sympathique, ce dernier offre des milliers de possibilités en terme d’exploitation et y retourner dès que l’occasion s’y prêtera pourrait être une excellente idée.
-
Merci à l’auteur d’avoir procédé à une petite élimination de certains personnages car de cette façon, on s’y retrouve un peu plus facilement.
-
C’est toujours un plaisir de retrouver des êtres portant des noms illustres comme Quasimodo, Beaumarchais, etc...
-
Enfin, je me dois de revenir à cette fameuse conclusion qui a su faire vibrer mon cœur, tout en essayant de ne pas m’égarer comme j’ai su le faire quelques minutes plus tôt. Voir une population capable de s’unir pour faire bouger les choses, oui, cette utopie a su trouver un chemin jusqu’à mon cœur et oui, je me suis autorisé à rêver. Néanmoins, il existe un sacré fossé entre la fiction et la réalité même si parfois… cette barrière sait se faire fine au point de voler en éclat… Et c’est ce que nous avons besoin actuellement.
En conclusion, c’est une saga que je recommande à tous, du moins, pour les lecteurs ouverts au fantastique. Une série qui ne présente aucun temps mort, ce qui est très rare, et sait se montrer passionnante à chaque nouveau chapitre. Voilà pourquoi je n’ai pas su lui résister et je souhaite sincèrement un joli succès à Fenriss.
Ma note :
18 / 20.
Course contre la montre #41 (30/04/2023)
Challenge proposé par mes soins, avec la complicité d'Octabrina au lien suivant : Course contre la montre.
On continue avec la 41ème session de ce challenge !
Le challenge est toujours organisé en session de 2 mois !
Le principe :
Lire le plus de romans possible pour gagner le plus de points possible.
(Uniquement les romans, BD et Manga ne comptent pas)
Barème des points :
Romans entre 1 et 100 pages = 1 point
Romans entre 101 et 200 pages = 2 points
Romans entre 201 et 300 pages = 3 points
Romans entre 301 et 400 pages = 4 points
Romans entre 401 et 500 pages = 5 points
Romans entre 501 et 600 pages = 6 points
Romans entre 601 et 700 pages = 7 points
Romans entre 701 et 800 pages = 8 points
Romans entre 801 et 900 pages = 9 points
Romans entre 901 et 1 000 pages = 10 points
Romans entre 1 001 et 1 100 pages = 11 points
Romans entre 1 101 et 1 200 pages = 12 points
Romans entre 1 201 et 1 300 pages = 13 points
Exemple : J'ai fini Une autre vie de S.J. Watson = 444 pages = 5 points.
Pour compter le nombre de points des livres en format numérique ou en audio, il faut prendre l'édition la plus récente.
En plus de tout ça, pour chaque session, il y aura un genre bonus et un genre malus.
Je rappel que pour le genre, je prends les "genres" notés sur la fiche du livre sur LivrAddict.
Le genre bonus fait gagner deux points sur une lecture de ce genre.
Le genre malus fait perdre un point pour une lecture de ce genre.
Genres pour la session 41 :
Genre bonus : Drame +2
Genre malus : Bit-lit -1
Tiré au sort le 18 février 2023 à 22h15
Certaines semaines, il y aura des bonus ou des petites surprises pour avoir un jeu un peu plus mouvementé.
BONUS SPECIAL
- du 15 au 31 mars +1 : Des fleurs sur la couverture.
- du 15 au 30 avril +1 : Votre lecture est un tome III.
Sheet
Vous n'avez pas besoin de posséder un blog pour participer. Je me base sur la confiance même si un avis n'est jamais de trop.
Les livres commencés avant la session et finis pendant compte comme un livre commencé et fini pendant.
Ce challenge peut être cumulé avec d'autres.
J'espère que tout est clair. Si vous avez des questions, n'hésitez pas à me demander !
Je vous attend nombreux, plus on est de fous, plus on rit !
Bon challenge à tous.
1. Fleurs captives, tome II : Pétales au vent : 445 pages > 5 points. + 2 points bonus pour le genre = 7 points.
2. Les pieds dans le tapis : 478 pages > 5 points.
3. Te Deum écarlate : 386 pages > 4 points.
4. Le blé noir : 346 pages > 4 points.
Total : 20 points.
Les pieds dans le tapis.
Auteur :
Emily Audrin.
Résumé :
Printemps 2018, Romane, Camille et Agathe, trois inséparables aux personnalités variées et aux vies bien différentes, vont vivre un évènement hors du commun qui va chambouler leurs destins. Une série de péripéties va mettre à mal leurs convictions et leurs projets respectifs, dans un décor parisien aux multiples facettes. Entre rires et larmes, leur complicité sans failles sera-t-elle suffisante pour leur permettre de se frayer un chemin vers le bonheur ?
Remerciements :
Je tenais particulièrement à remercier l'auteure qui me fait part de sa confiance, une seconde fois, en me confiant son précieux bébé.
Mon avis après la lecture :
Je viens tout juste de fermer la dernière page de ce roman et une chose est sûre : Emily Audrin est vraiment bourrée de talents. J’ai pris un immense plaisir à faire la connaissance de Romane, Camille et Agathe et surtout, de suivre leurs mésaventures. Chaque femme qui compose ce trio mène ses combats et parfois, j’avais l’impression d’être la quatrième copine tant je me suis marré avec certaines de leurs conversations. D’entrée, nous sommes baignés d’une atmosphère vraiment légère et très sympathique avant de prendre conscience que le message de ce livre est beaucoup plus important. C’est une œuvre qui parle du féminisme et comme c’est une cause que je soutiens à cent pour cent, ce livre n’a cessé de me parler. Néanmoins, ce roman ne sera pas un coup de cœur mais je sais qu’il va laisser une trace dans ma mémoire car il est vraiment percutant. Désormais, il est temps pour moi de passer à la rédaction de mes fameuses listes.
Points négatifs :
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Je n’ai pas aimé la petite scène de sexe. Après, j’ai beaucoup de mal à trouver mon compte face à ce type de contenu. Néanmoins, dans la logique des évènements au sein du roman, elle avait sa place.
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La romance principale qui se devine très facilement.
Points positifs :
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La taille aléatoire des chapitres.
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Dans l’ensemble, l’auteure sait nous peindre de sacrés personnages et sincèrement, j’étais servi avec Romane. Cette dernière passe par tous les états possibles et inimaginables et de son côté, le lecteur aurait tendance à connaître des montagnes russes similaires. Même si je me suis reconnu à de nombreuses reprises à travers cette femme de par ses réactions, elle a su m’agacer par son hésitation. Au début, lorsque les premiers doutes s’installent, je ne pouvais rien dire à ce sujet car tout à fait normal. Par la suite, lorsque cela commence à créer des situations compliquées, la demoiselle prend un sacré temps avant d’accepter l’évidence.
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Chaque femme qui compose ce trio de bonnes copines possède son petit rôle bien spécifique. Elles se complètent toutes et leur amitié est vraiment plaisant à lire. Comme j’ai su le dire quelques lignes plus haut, je me suis vu à de nombreuses reprises, à leurs côtés, en train de me livrer aux mêmes activités.
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Lorsque l’histoire a enchaîné sur le festival de Cannes, j’ai grincé des dents car le milieu du cinéma n’est pas un monde qui m’attire. Je ne me tiens même pas au courant des dernières sorties, preuve que… Bref, j’avais peur que le reste de l’histoire se déroule dans cet univers. Il s’y passe une petite partie mais pas de quoi gâcher le plaisir de la lecture. En tout cas, il est intéressant d’en apprendre plus de ce domaine lorsque Romane monte son film.
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Enfin, le message porté par ce roman. Cette œuvre aborde le féminisme avec beaucoup de bienveillance et de respect tout en explorant divers sujets de sociétés.
En conclusion, c’est une lecture vraiment agréable et je m’en sors agréablement surpris. Emily Audrin a le don d’écrire des histoires qui font réagir… et c’est ce que je demande à chacune de mes lectures.
Ma note :
17 / 20.