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23 avril 2023

Le cycle de Barcil, tome VI : Ugo le sage.

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Auteur :

Jean-Marc Dopffer.

Résumé :

C’est au cœur d’Astragan, magnifique continent isolé au cœur du Grand Océan et ceint de sa barrière naturelle infranchissable, le Mur, que s’étend la mégapole d’Eÿktoss. Labyrinthe haché de gratte-ciels vertigineux, de ponts haubanés et d’artères congestionnées, l’urbanisation couvre le paysage ondulant à perte de vue, sous une atmosphère grise.
Expert de la section d’enquête du gouvernement, Ugo Kivelson a été mandaté par la commission pour analyser les transferts de fonds issus de l’exploitation des minerais essaimés sur l’ensemble du système solaire. Son enquête l’a emmené à rassembler des preuves sur les agissements frauduleux du Consortium, tout autant qu’à découvrir des ramifications aussi inattendues qu’éminentes. Le rapport d’enquête qu’Ugo tient entre ses mains est une bombe ; le scandale ne pourra être ni évité ni étouffé. L’affaire éclaboussera jusqu’aux plus hautes autorités des États Confédérés d’Astragan.
Ugo parviendra-t-il à sécuriser son rapport d’enquête ?
La paix entre les nations survivra-t-elle à la mission d’Ugo ?

Remerciements :

Je tenais particulièrement à remercier Jean-Marc Dopffer, qui, une fois encore, me témoigne sa confiance en ayant placé son précieux bébé entre mes mains.

Mon avis après la lecture :

Je poursuis l’exploration des univers de Jean-Marc Dopffer et je reste toujours dans la branche science-fiction. Aucun problème, je suis fan de ce genre littéraire et je ne suis pas prêt à lui tourner le dos… surtout lorsque j’ai la chance de lire d’aussi bonnes histoires. Cette nouvelle peut clairement s’inscrire dans la continuité de celle qui concerne Yuko car elle se déroule dans le même milieu : l’espace. D’ailleurs, on y retrouve certains thèmes communs comme ce fameux ascenseur spatial ainsi qu’un vocabulaire scientifique. Toutefois, contrairement à la nouvelle qui tourne autour de l’indomptable, je dois reconnaître que cette histoire a su me plaire beaucoup plus que sa petite sœur. Pourquoi ? Beaucoup d’action et là, oui, j’étais aux anges. Cela fait du bien de lire un texte qui ne présente aucune longueur. En attendant, après ces quelques lignes, je me dois de passer à la rédaction de mes fameuses listes.

Point négatif :

  • Même si j’ai su apprécier cette nouvelle a sa juste valeur, ce n’est pas un monde dans lequel je souhaite vivre ou du moins, qui ne m’a pas donné d’y rester plus longtemps. Après, il est toujours un peu spécial de souhaiter évoluer dans un monde en destruction, aussi bien dans l’espace que sur la terre ferme.

Points positifs :

  • La taille aléatoire des chapitres.

  • L’action. Comme j’ai su le rédiger auparavant, les scènes d’action ici sont nombreuses et d’une efficacité redoutable. C’est pour cette raison que mon plaisir de lecteur a été plus grand qu’avec la nouvelle de Yuko.

  • Le vocabulaire scientifique. Cette fois, il ne déborde pas à tous les chapitres et c’était clairement une expérience plaisante. D’ailleurs, un très grand merci à Roland Lehoucq pour son partage de savoir. J’aurais dû le citer dès la chronique sur Yuko mais comme je suis un homme distrait, je rattrape ma bourde avec celle-ci.

  • Jean-Marc Dopffer m’a offert la chance de lire ces deux nouvelles l’une après l’autre. Bien sûr, j’aurais pu enchaîner sur une autre lecture venant d’un autre auteur mais je voulais rester dans cet univers de science-fiction. Pour ce nouveau point positif, il faut savoir que la nouvelle de Yuko et celle de Ugo présente une petite continuité. Par contre, je pense que l’histoire de notre héros doit se lire après celle de la demoiselle pour respecter la « chronologie » dans le temps.

En conclusion, c’est une nouvelle super intéressante et très enrichissante. Ici, pas de longueurs et cela joue beaucoup sur l’appréciation dans sa globalité. De toute manière, jusqu’à preuve du contraire, je sais me montrer bon client concernant les œuvres de Jean-Marc Dopffer. Je ne me souviens pas d’avoir noté sévèrement l’une de ses nouvelles et pour le moment, c’est encore très loin d’arriver. Fort heureusement, dans un sens. Cela me prouve, encore une fois, que nous avons des auteurs vraiment talentueux dans la sphère de l’auto-édition et je leur apporte vraiment tout mon soutien. Après tout, ils savent me faire vivre de délicieuses expériences littéraires.

Note attribuée :

17 / 20.

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