Auteur :

Florence Metge.

Résumé :

Plus de 250 ans après, et si la bête du Gévaudan était de retour ?

Juin 2017, Saint-Chély-d’Apcher.
Le corps d'une lycéenne est retrouvé en partie dévoré au pied de la statue de la bête du Gévaudan. Ce crime ne tarde pas à évoquer ceux commis dans la région par la mystérieuse créature, 250 ans auparavant.

Avril 2018.
Faustine quitte la région parisienne pour s’installer dans l’ancienne maison familiale en Lozère. Elle pensait réaliser son rêve : commencer l’écriture d’un roman et ouvrir des chambres d’hôtes. Pourtant, les cartons à peine défaits, une sinistre découverte brise son élan : le cadavre d’une jeune femme est déterré dans son jardin.

Existe-t-il un lien entre ces événements ? Qui sème de nouveau la terreur dans l’ancienne province du Gévaudan ? Et si la bête revenait hanter la région ?

De quelle manière je me le suis procuré :

L'écrivaine qui est venue me trouver sur la plateforme Simplement.Pro.

Remerciements :

Tout d'abord, à Florence pour m'avoir témoigné sa confiance en mon confiant son bébé,

et à Simplement.Pro sur lequel je peux me mettre en service des auteurs.

Mon avis après la lecture :

Déjà, je ne vais pas faire durer le suspense trop longtemps en affirmant la chose suivante : j’ai apprécié cette lecture. Pour plusieurs raisons et je prendrais le temps nécessaire pour décrire, à travers mes listes, ce qui a su faire battre mon cœur. Néanmoins, je dois reconnaître que je nourris quelques doutes concernant l’un des ingrédients de ce roman mais je saurais en parler plus tard. Là où je tiens à remercier Florence, c’est pour la bonne dose historique qu’elle a su apporter à travers les nombreuses pages de son roman. Je ne vais pas dire que je suis un mordu de la Bête du Gévaudan simplement parce que je ne savais pas grand-chose au sujet de ce fait divers. Pourtant, ce n’est pas faute d’avoir plusieurs livres à la maison qui traitent de cette histoire mais jusqu’à présent, je n’ai toujours pas trouvé le temps de les lire. Au moins, avec ce service-presse, j’ai pu combler mes lacunes et ma curiosité est désormais titillée. C’est pour cette raison que j’exprime un très grand merci. Maintenant, il est l’heure pour moi de passer à la rédaction de mes fameuses listes.

Points négatifs :

Des répétitions.
La vie amoureuse de l’héroïne. Sincèrement, et je ne m’en cache pas, j’ai beaucoup de difficultés avec les romances. Certes, l’une de mes dernières lectures effectuées avant ce roman, et qui abordait ce thème, s’est plutôt bien passée mais je ne vais pas me mettre à aimer toutes les histoires sentimentales à chaque fois qu’elles se présentent. Ici, j’estime qu’elle a prit de la place par rapport à l’enquête. D’ailleurs, cette dernière était trop souvent reléguée au troisième plan lorsque Faustine passait du temps avec ces bellâtres.
L’enquête en elle-même. Habitué à lire des thrillers, j’aime bien me creuser la cervelle pour essayer de deviner le responsable avant que son identité me soit révélée à la fin de ma lecture. Dans ce roman, je me suis retrouvé avec des doutes et j’étais parti sur un scénario hyper complexe. Néanmoins, la conclusion de cette affaire m’a paru trop simple. Après, peut-être est-ce mon exigence qui a parlé.

Points positifs :

La taille aléatoire des chapitres.
Je ne connais pas du tout la Lozère même si j’y ai beaucoup de contacts et que certains m’ont invité à y passer quelques jours. Bizarrement, moi qui aime les hivers rigoureux, quelque chose me dit que je pourrais m’y plaire. De plus, étant pro-loup, encore plus. Je tiens donc à remercier Florence d’avoir su me la décrire avec beaucoup de profondeur. Par moment, j’avais l’impression de lire une véritable déclaration d’amour à cette terre, et je peux le comprendre. On y sent l’attachement et le dénouement qui habitent son âme mais aussi sa plume. J’ignore si j’aurais la chance de fouler ce beau coin de France mais je nourris cet espoir.
En parlant de plume, j’ai trouvé cette dernière très agréable. Très fluide, pas de difficultés particulière à la lecture. L’expérience s’est avérée sympathique comme tout.
Enfin, et je tiens à y revenir. Ces nombreuses pages consacrées au mythe de la Bête du Gévaudan. J’aime l’histoire et m’offrir la possibilité d’explorer ce passé de notre pays a su faire battre mon organe vital. Désormais, il est vrai que j’en sais beaucoup plus concernant ce fait divers et j’espère que j’aurais l’occasion de poursuivre ce voyage dans le passé, à travers les nombreuses lectures que j’ai en ma possession.

En conclusion, malgré les quelques points négatifs que j’ai su exprimé, l’ensemble offre un sympathique moment de lecture, surtout lorsque l’on est un dingue d’historique, comme moi. J’espère que d’autres personnes n’hésiteront pas à donner leur chance à ce roman car sincèrement, il mérite le coup d’oeil.

Note attribuée à cette lecture :

16 / 20.

Meurtres en Gévaudan.

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